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Steph au Japon
2 juin 2009

Du dimanche 5 au Lundi 6 Avril : Trajet en avion - Arrivée à Narita

L'avion décolle avec 30 minutes de retard. Merci les colis abandonnés.
Une fois tous dedans, il se lance sur la piste, moteurs à plein régime. Le bruit est assourdissant, mais plus fois en l'air, le bruit devient moins génant.

C'est parti pour 11 heures de vol et + de  10 000 kms à parcourir.
Ever et Daguet sont devant moi. On discute sur le départ et on se marre en regardant le menu du déjeuner (il est aux environs de 14h, heure française). L'ambiance est bonne et détendue.
C'est à ce moment là que je réalise que nous sommes enfin partis, et là tout se passe parfaitement bien pour un début de séjour. Tout se passe sous d'excellentes auspices.

Le voyage va se résumer à :
- 5 films vus dont Wall-, Vilaine, et quelques autres que j'ai un peu zappé (ça devait être des navets, çane m'a pas marquer)
- 30 à 45 minutes de sommeil par ci, par là
- 2 heures à marcher à l'arrière de l'avion (les chaussettes de contention, c'est bien, mais faudrait avoir tout le corps dans un tissu de contention pour un bien....)

Les repas sont excellents, l'accueil est parfait, le vol, rien à redire. O peut dire ce qu'on veut Air France, c'est vraiment bien en long courrier.
Quelques photos depuis le hublot pour capturer les superbes vues d'en bas  (les glaces, le soleil levant, les montagnes japonaises enneigées)

Il est aux environs de 8h, heure locale, le lundi 6 avril. L'atterissage tarde à arriver.
Je suis impatient de sortir de l'avion et surtout de fouler (enfin) le sol japonais. Première chose  en attendant l'ouverture des portes,  réglage des montres : il est 8H30 du matin à Narita, 1h30 en pleine nuit sur Paris.

On sort de l'avion et on se dirige vers les bureaux des douanes, où un seul et unique japonais officie.... Pas mal quand on sait qu'un boeing vient d'arriver...
Le principe chez les Japonais est de privilégier leurs congénères, au désavantage des touristes. C'est ainsi. Nous prenons notre mal en patience, le temps de pouvoir arriver jusqu'au ligne d'attente.

Comme d'habitude, le côté latin des européens revient à la charge... ça tente de gruger en passant sur le côté. Mais les Japonais, malgré leur petite taille, sont agiles et rapides. Et la barrière de la langue, là bizarrement n'en est pas une. Une injonction à rejoindre les rangs avec un ton un peu ferme se fait toujours comprendre quelque soit la langue.
Ever est navré du spectacle... et moi dont !

J'arrive devant le poste, je tends le passeport, les papiers remplis dans l'avion certifiant que je me baladais pas avec mon flingue habituel, la totalité du pack de drogue que je n'ai pas réussi à vendre en France avant de partir, ainsi que mon avis d'expulsion du Japon pour toutes les choses cochonnes que j'ai embarqué dans mon sac (... il est con ce questionnaire ...).
Bref, ils prennent mes empreintes digitales, une belle photo pas cadrée. Une courbette, un Arigato Gozaimasu et hop, voilà c'est terminé.

Nous récupérons nos bagages qui doivent bien tourner depuis 10 minutes sur le tapis et passons encore un contrôle, très rapide cette fois-ci.
Et le plus marrant commence, se repérer.
Première étape, il nous faut l'agence JR pour obtenir les pass . JR pour Japan Rail, nom des différentes compagnies de train du Japon.

Une chose est sûre : les japonais sont les rois incontestés du maniement du tampon ! Si il n'y en a pas eu une bonne vingtaine de coups pour les 3 JR Pass, il n'y en a pas eu un seul.

Le JR Pass en poche, nous prenons le train pour nous rendre au centre de Tôkyô, direction  l'auberge de jeunesse.

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